Apocalypse

Selon Henri-Charles Puech (1902-1986), Apokálupsis (littéralement « dé-caché ») désigne, en général, un écrit d’un genre bien déterminé […] :
en des circonstances exceptionnelles, un Révélateur dévoile à un voyant, ou à un petit groupe d’adeptes privilégiés, des mystères sublimes, des vérités qui dépassent l’entendement commun.
De telles révélations doivent rester secrètes ou, plus exactement, n’être transmises qu’à des intelligences pures ou à des disciples discrets et capables de n’en faire qu’un saint usage.
Traités 51-54 – Plotin, (Trad. L. Brisson et J-F Pradeau), éd. Flammarion, 2010 (ISBN 2081231360), p.329, note 165.

Apocalypse 13, 18
C’est ici qu’il faut de la finesse !
Que l’homme doué d’esprit calcule le chiffre de la Bête,
c’est un chiffre d’homme : son chiffre, c’est 666.

Apocalypse 14, 1
Puis voici que l’Agneau apparût à mes yeux ; il se tenait sur le mont Sion, avec cent quarante-quatre milliers de gens portant inscrits sur le front leur nom et le nom de son Père.

Apocalypse 19, 10
Alors je me prosternai à ses pieds pour l’adorer, mais lui me dit :
« Non, attention, je suis un serviteur, comme toi et comme tes frères qui possèdent le témoignage de Jésus. C’est Dieu que tu dois adorer. »
Le témoignage de Jésus, c’est l’esprit de prophétie.