« Mû d’un mouvement éternel par l’âme qui le conduit avec réflexion, [le corps] devient un vivant          « heureux » ; et il tire sa dignité de l’âme qui s’est installée en lui ; car il n’était auparavant qu’un cadavre […] et "un objet de haine pour les dieux" comme le dit le poète. »

« Chaque fois que nous sommes tournés vers Lui, nous trouvons alors notre fin et notre repos et le chant n’est plus discordant pour nous qui dansons vraiment autour de Lui une danse inspirée par la Divinité. »

« Quand on se trouve dans la condition où l’on était quand on est venu de Lui, on peut désormais Le voir de la façon dont, par nature, Il peut être contemplé. »

Traités 7-21, Plotin (Trad. L. Brisson et J-F Pradeau), éd. Flammarion, 2003 (ISBN 2080711644), Traité X, 2 / Traité IX, Chap. VI, 9-8 / Traité IX, 4