Ce qui fonde [la] liberté, c’est la conscience empirique, c’est-à-dire l’expérience indiscutable d’une interrelation on ne peut plus personnelle entre l’homme et une instance qui n’est pas du monde, relation qui seule est capable de faire contrepoids « au monde et à ses raisons ».
Présent et avenir (1956), C.G.Jung (trad. Docteur Roland Cahen), éd. Poche , 1995, (ISBN 2253904317), chap. II, p. 26
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